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Ces chansons qui font l'actu. Pourquoi Georges Brassens n'a plus haï les flics

Après avoir chanté qu'il "les adore sous la forme de macchabées", le plus grand auteur-compositeur de son temps a fini par dire "Gloire au flic" dans une chanson de son dernier album. Réfléchissons à la mécanique de cette conversion... 

Article rédigé par franceinfo, Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
Georges Brassens chez lui, le 9 octobre 1972 à Paris. (AFP)

Georges Brassens et la République, c’est du sérieux. Si ce n’est pas dans votre ville, c’est au chef-lieu voisin que vous trouverez un lycée Georges Brassens, une crèche Georges Brassens, une médiathèque Georges Brassens, un parc Georges Brassens, une rue Georges Brassens… Un commissariat Georges Brassens, ce sera plus difficile. Il y aura toujours quelqu’un pour rappeler que le bon tonton Georges, en 1952, a enregistré "Moi j'bichais car je les adore sous la forme de macchabées", en parlant des forces de l'ordre. 

Puis il a changé...

Dans le second épisode de Ces chansons qui font l’actu diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :  

Georges Brassens, Le Nombril des femmes d'agent, 1956

Georges Brassens, Hécatombe, 1952

Georges Brassens, Don Juan, 1976

Georges Brassens, L'Epave, 1966

Georges Brassens, Don Juan, 1976



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Tout cet été, nous avons eu le plaisir d'une longue conversation musicale avec une immense artiste dans La Playlist de Françoise Hardy. 

Pour les professeurs, lycéens et collégiens, franceinfo et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire. 

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