La chanson n’est pas toujours d’une parfaite justice… Nous sommes en année électorale et nous passons plusieurs week-ends avec cette chronique, à traverser l’histoire de cette république, de président en président. Quand on en arrive à Georges Pompidou, on doit bien constater qu’on l’a beaucoup oublié.Il faut dire que les qualités singulières du patronyme de Georges Pompidou lui ont valu quelques déboires musicaux. On ne compte plus les imitations de Marilyn Monroe et de son poupoupidou, tout au long de sa carrière politique, ainsi que quelques usages ludiques de son nom... Dans le premier épisode de cette chronique ce week-end, vous entendez des extraits de : Cheveu, Madame Pompidou, 2014Monsieur Poli, Pompidou, 2005Miguel Cordoba, Pom Pom pom pidou, 1964 ou 65Archibald, We Love You Monsieur Pompidou, 1973André Pacher, Il était un petit ministre, 1990Jehan Jonas, Pompi que dalle, 1966Les Wampas, Pompidou, 1998François Morel, Pompidou, 2006 Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique sur Twitter. Tout l’été dernier, en compagnie de Vincent Delerm, nous avons baguenaudé dans La Playlist amoureuse de la chanson, exploration buissonnière du patrimoine populaire. Vous pouvez également prolonger les gourmandises de cette chronique d’été avec le Dictionnaire amoureux de la chanson française, coédité par Plon et France Info. Pour les professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire. Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.