: Vidéo Avenue de l'Europe. L'invité NE PAS PUBLIER
"Avenue de l'Europe" consacrait son numéro de novembre à l'emploi. Son invité, Enrico Letta, ancien Premier ministre italien, répondait aux questions de Véronique Auger et de Sabine Syfuss-Arnaud, du magazine "Challenges", partenaire de l'émission.
Il y a un an, pour pousser les entreprises à créer des emplois, Matteo Renzi, le chef du gouvernement italien, a considérablement assoupli le Code du travail − et surtout les procédures de licenciement – avec le très controversé "Jobs Act". Cette réforme avait été préparée par le précédent président du Conseil, Enrico Letta.
Le 18 novembre 2015, le magazine "Avenue de l'Europe", consacré à l'emploi, avait invité l'ancien Premier ministre italien. Enrico Letta répondait aux questions de Véronique Auger et de Sabine Syfuss-Arnaud, chef du service international de Challenges, partenaire de l'émission.
C'est ça, la solution contre le chômage ? Faciliter les licenciements pour donner aux entreprises plus envie d'embaucher ? "Le 'Jobs Act' n'est certes pas la solution idéale, mais pas le mal total non plus. Chez nous, c'est la précarité le problème principal. Pousser [les employeurs] à des contrats à durée indéterminée est donc une avancée. Mais ce n'est pas ça qui va résoudre le problème des jeunes sans emploi."
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