: Vidéo La blague sexiste du député Marc-Philippe Daubresse sur "Barbara Pom-pom pili"
Le député des Républicains du Nord, Marc-Philippe Daubresse, a fait une plaisanterie à propos du nom et du physique de la coprésidente du groupe écologiste à l'Assemblée, Barbara Pompili.
Le député des Républicains du Nord, Marc-Philippe Daubresse, avait semble-t-il décidé de faire rire son auditoire, lors de son discours devant le campus des Jeunes Républicains samedi 12 septembre au Touquet (Pas-de-Calais). L'élu de droite a rebaptisée Barbara Pompili, la coprésidente du groupe écologiste à l'Assemblée, "Barbara Pom-pom pili", en raison, a-t-il expliqué, de son phyisque.
"Elle est si jolie, elle me fait penser à Marilyn Monroe"
Le surnom dont Marc-Philippe Daubresse a affublé Barbara Pompili mêle à la fois la "pom-pom girl" et le "Poupoupidou" de Marylin Monroe. "Excusez-moi, elle est jolie, donc de temps en temps, elle me fait penser à Marilyn Monroe", s'est d'ailleurs justifié l'élu de droite. Accusé d'être "mysogine" par une journaliste, l'homme politique s'en est défendu.
@DAUBRESSE_MP par ailleurs, auriez-vs fait une blague pareille ds un discours politique sur un homme que vous trouvez beau? Je ne crois pas.
— Charlotte Gauthier (@chagauthier) September 12, 2015
Glosant sur le physique des femmes politiques, ces mecs ont-ils conscience des risques auxquels ils s'exposent ? #LT pic.twitter.com/CJTPsKKpaH
— eric fallourd (@eric_fallourd) 12 Septembre 2015
Sexisme ordinaire! Insupportable !!! https://t.co/8TOsM1mTRT
— sergio coronado (@sergiocoronado) 12 Septembre 2015
"Gauche plurielle" ou "gauche plus rien"
Très en verve, l'élu Républicains s'est aussi moqué de la division de la gauche aux régionales dans sa région Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Il a ainsi plaisanté sur cette "gauche plurielle", "devenue la gauche plus rien", listant : "d'un côté les Khmers verts - il ne faut pas parler comme ça, les verts intégristes si vous voulez" et "chez les rouges", "les rouges vifs du parti communistes (...) et les rouges roses du Front de gauche". Conclusion colorée du député : "A la fin, tout le monde est marron et c'est un peu compliqué".
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