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Crise à l'hôpital : "Première chose, on désengorge l'hôpital, deuxième chose, on débureaucratise", propose Bruno Retailleau

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Crise à l'hôpital : "Première chose, on désengorge l'hôpital, deuxième chose, on débureaucratise", propose Bruno Retailleau
Crise à l'hôpital : "Première chose, on désengorge l'hôpital, deuxième chose, on débureaucratise", propose Bruno Retailleau Crise à l'hôpital : "Première chose, on désengorge l'hôpital, deuxième chose, on débureaucratise", propose Bruno Retailleau (FRANCE 2)
Article rédigé par France 2 - T. Sotto
France Télévisions

Président du groupe Les Républicains au Sénat, Bruno Retailleau était l'invité des "4 Vérités", mardi 7 juin. L'occasion notamment de revenir sur la situation critique à l'hôpital alors qu'une nouvelle mobilisation des soignants se tient.

Sur le plateau des "4 Vérités", le président du groupe Les Républicains au Sénat, Bruno Retailleau, est revenu sur la situation à l'hôpital, mardi 7 juin, jour d'une nouvelle mobilisation des soignants, qui demandent plus d'effectifs et des hausses de salaire. Que faire pour aider les hôpitaux français ? "Il faut réformer", estime Bruno Retailleau. "La solution, c'est d'abord faire en sorte qu'il y ait plus de médecins généralistes", a-t-il expliqué.

"Beaucoup d'argent public sans réforme, vous ne traitez pas le problème"

Bruno Retailleau défend la mise en place d'une "quatrième année d'étude, comme les autres spécialités". Une année de professionnalisation, de consolidation que les étudiants en médecine devraient faire dans les déserts médicaux. "Première chose, on désengorge l'hôpital, deuxième chose, on débureaucratise", propose Bruno Retailleau, qui dénonce : "Quand vous mettez beaucoup d'argent public sans la réforme, vous ne traitez pas le problème."

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