Mardi 16 novembre, au deuxième jour de son procès en appel, François Fillon a assuré une nouvelle fois que son épouse a bien travaillé à ses côtés. Éric Pelletier, journaliste France Télévisions, suit le procès. “Cet après-midi, à la barre, François Fillon s’est avancé et a déposé quelques notes sur le pupitre et a eu des accents très politiques. ‘Je me dois de vous dire quelques vérités qui n’ont pas été entendues en première instance', a-t-il déclaré”, raconte le journaliste.Il ne lâche rienL'ex-Premier ministre a ensuite rappelé que lorsqu’il a été élu en 1981, plus de la moitié des députés employait un conjoint ou un membre de leur famille comme collaborateur parlementaire, rapporte le journaliste. Si sur la réalité du travail de son épouse, Pénélope Fillon, il ne lâche rien, il a esquissé quelques regrets. “Pour sa famille politique, pour ses enfants, pour Pénélope Fillon”, liste Éric Pelletier.