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En images Le Maire, Sarkozy, Royal... Ces élus qui ont déjà gagné le Grand prix de l'humour politique

Article rédigé par Thomas Baïetto
France Télévisions
Publié Mis à jour

Bruno Le Maire a hérité du trophée 2016, avec une citation empreinte d'une certaine modestie.

Francetv info revient en images sur le palmarès de ce prix.

Ministre de Nicolas Sarkozy, Jean-Louis Borloo ironise sur "l'hyper-président" qui étouffe son Premier ministre d'alors, François Fillon. (  MAXPPP)
Trois ans avant la victoire de François Hollande, le maire de Paris ironise sur les échecs à répétition du PS à l'élection présidentielle. (  MAXPPP)
Ancienne juge d'instruction, l'écologiste Eva Joly se moque de DSK, à cette époque favori pour la primaire du Parti socialiste. (  MAXPPP)
L'ancien Premier ministre fait ici référence à sa condamnation en 2004 à 18 mois de prison avec sursis et un an d'inéligibilité. (  MAXPPP)
Candidate à la primaire socialiste puis à la présidentielle, Ségolène Royal ironise sur sa popularité. (  MAXPPP)
Ecarté du premier gouvernement du quinquennat de Nicolas Sarkozy, Patrick Devedjian ne digère pas l'ouverture et la nomination de personnalités de gauche, comme Bernard Kouchner. (  MAXPPP)
Opposé au mariage pour tous, l'ancien ministre UMP tacle le président de la République. (  MAXPPP)
Sous Jacques Chirac, François Goulard a été secrétaire d'Etat aux transports de 2004 à 2005, puis ministre délégué à l'Enseignement supérieur et à la recherche de 2005 à 2007. (  MAXPPP)
Premier ministre de François Mitterrand, Laurent Fabius ironise sur sa faible popularité personnelle. (  MAXPPP)
A deux ans de la présidentielle, Nicolas Sarkozy tente de dissimuler ses ambitions politiques. (  MAXPPP)
Alors président de l'Assemblée nationale, Jean-Louis Debré donne son avis sur l'avenir politique de l'île de Beauté. (  MAXPPP)
Secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, Renaud Muselier a du mal à trouver sa place aux côtés de Dominique de Villepin, son ministre de tutelle, en pleine guerre en Irak. (  MAXPPP)
Avec cette citation empreinte de modestie, Bruno Le Maire aurait pu prétendre au Melon d'or 2016. Il devra se contenter du Grand Prix de l'humour politique.  (AFP)
Dans un entretien au "JDD", l'ancien chef de l'Etat tacle, une fois de plus, le centriste François Bayrou. (AFP)

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