Cet article date de plus de trois ans.

Emmanuel Macron à Marseille : "Les annonces nous satisfont", réagit la première adjointe Michèle Rubirola

L'élue se réjouit de l'arrivée de policiers avec l'installation de 500 caméras de vidéo-surveillance et de l'annonce d'un investissement de l'Etat d'un milliard d'euros pour les transports. 

Article rédigé par franceinfo
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Le ministre de la santé Olivier Véran, la première adjoint au maire de Marseille Michèle Rubirola et le chef de l'Etat Emmanuel Macron, le 2 septembre 2021 à Marseille.  (LUDOVIC MARIN / POOL)

Les annonces d'Emmanuel Macron à Marseille "nous satisfont", réagit jeudi 2 septembre sur franceinfo la première adjointe au maire de la ville, Michèle Rubirola.

Je ne peux qu'être positive. Ce serait malhonnête ou hypocrite de dire que je ne suis pas d'accord avec ce qui a été dit. Après, il faut voir comment on peut travailler ensemble

Michèle Rubirola

franceinfo

L'élue espère que "l'intérêt collectif" sera perçu par "l'ensemble des politiques quels qu'ils soient", notamment à la métropole dirigée par son opposante, l'élue LR Martine Vassal.

Alors que le président a défini trois urgences "sécuritaire, sociale et sanitaire" pour la ville de Marseille, Michèle Rubirola estime que "c'est un discours qui résonne avec ce que nous avons toujours dit" car "c'est une ville qui a été abandonnée."

Michèle Rubirola est également satisfaite par le financement d'un milliard d'euros pour les transports annoncé par Emmanuel Macron. "C'est quelque chose qu'on a toujours souhaité", réagit-elle. 

Des lignes de métro oui, mais il faut que ça desserve tous les quartiers de la ville. Les habitants des quartiers nord qui sont isolés et ont de grosse difficultés pour rejoindre l'autre partie de Marseille. C'est vers les quartiers Nord qu'il faut étendre les transports en commun

Micèle Rubirola

franceinfo

Sur le plan sécuritaire, les 500 caméras de vidéosurveillance annoncées par Emmanuel Macron "ne servent à rien s'il n'y a pas d'humain derrière", selon Michèle Rubirola. Or, "il y aura de l'humain, puisqu'il a promis des policiers, des éducateurs et des médiateurs."

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.