Alexandre Benalla est revenu dans le Monde daté du 27 juillet sur les évènements du 1er-Mai. Et l'ex-garde du corps d'Emmanuel Macron contre-attaque. Sur le plateau du 19/20 de France 3, la journaliste Sophie Neumayer, revient en détail sur son interview. "Alexandre Benalla explique être le fusible, le maillon faible pour atteindre Emmanuel Macron. Il dit aussi qu'on a voulu se débarrasser de lui, 'un gamin de 25 ans, qui n'a pas fait l'ENA, qui n'est pas sous-préfet, ça suscite des rancoeurs', assure-t-il. Il décrit un phénomène de cours à l'Élysée, et des jalousies".Alexandre Benalla critique aussi les différents services de policeMais Alexandre Benalla ne s'arrête pas là et critique aussi les différents services de Police. "Il attaque tout d'abord le GSPR, le service composé de policiers et de gendarmes qui assure la sécurité du président. Alexandre Benalla dénonce des incohérences incroyables. Il critique de hauts responsables de la préfecture de Police de Paris. La préparation et l'encadrement de sa mission d'observation du 1er-Mai n'ont, selon lui, pas été à la hauteur. Il réserve sa charge la plus violente aux syndicats de Police qui, selon lui, 'ne disent que des conneries'. Mais les syndicats que nous avons interrogés aujourd'hui le maintiennent : Alexandre Benalla avait régulièrement un comportement exécrable, envers certains policiers", conclut Sophie Neumayer.