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Le pontificat de Benoît XVI en quelques dates clés

Article rédigé par Laurent Filippi
France Télévisions
Publié Mis à jour

Invoquant son âge, le 11 février 2013, Benoît XVI annonce sa démission.
 

Retour en quatorze photos sur quelques dates clés de son pontificat

Le 265e pape, Benoit XV,I apparait au balcon de la  basilique Saint-Pierre dans la Cité du Vatican pour saluer la foule après son élection à la tête de l'Église catholique romaine.
 
Le cardinal allemand né Joseph Alois Ratzinger succède à 78 ans à Jean Paul II.
 
 
 
 (AFP PHOTO THOMAS COEX)
Le pape Benoît XVI lors d'une réunion dans la basilique Saint-Jean-de-Latran à Rome lance le processus de béatification de son prédécesseur défunt Jean Paul II.
 
 
 (REUTERS/Osservatore Romano/Pool)
Benoît XVI arrive pour la grande messe de clôture des vingtièmes Journées mondiales de la Jeunesse à Marienfeld, près de Cologne en Allemagne.
 
Deux jours auparavant, il avait profité de sa visite à la synagogue de Cologne pour évoquer son enrôlement dans les Jeunesses hitlériennes quand il était adolescent.
 
 
 (REUTERS/Pier Paolo Cito/Pool)
Benoît XVI se recueille devant le principal mur d'exécution du camp d’Auschwitz-Birkenau.
 
Cette visite au plus grand camp de la mort construit par les nazis sur le territoire polonais a conclu un pèlerinage de plusieurs jours en Pologne.
 
«Où était Dieu en ces jours-là ? Pourquoi s’est-il tu ?» a-t-il déclaré.
 
 (AFP PHOTO/POOL /Pier Paolo Cito)
Devant un parterre d’étudiants et de professeurs dans le grand auditorium de l'Université de Ratisbonne (Allemagne), le pape déclenche une polémique après un discours où il semble lier islam et violence.
 
 (AFP/ Matthias Schrader)
A l'Université catholique de Washington, le pape parle de l’importance de l’éducation catholique.
 
Il profitera de sa venue en Amérique pour rencontrer des victimes de pédophiles abusées par des membres du clergé.
 
Un scandale qui touche l’Eglise catholique américaine dont 4.400 prêtres sont accusés d’avoir agressé sexuellement 11.000 enfants, depuis 50 ans. (Alex Wong/Getty Images/AFP)
En France, il se rend à Lourdes pour le 150e anniversaire des apparitions de la Vierge et y prie pour les malades à la Grotte des Apparitions, le cœur des Sanctuaires.
 
 
 (AFP PHOTO / POOL / ERIC CABANIS)
Le pape entame un voyage d’une semaine en Afrique. Lors d’une conférence de presse dans l’avion, il déclare que la distribution de préservatifs ne résoudra pas le problème du sida mais au contraire l’aggravera.
 
Il déclenche un tollé.
 
 (AFP PHOTO / CHRISTOPHE SIMON)
Le pape se recueille sur la pierre de l’Onction, dans l'église du Saint-Sépulcre, dans la vieille ville de Jérusalem. Ce lieu est considéré par les chrétiens comme le tombeau et le lieu de la résurrection du Christ.
 
Achevant son pèlerinage en Terre Sainte (Jordanie, Israël et Territoires Palestiniens), il plaide pour un Etat palestinien, dénonce l'antisémitisme et déclare que le Christ offre l'espoir pour la paix au Moyen-Orient.
 (REUTERS/Carsten Koall/Pool)
A la synagogue de Rome, au côté de Riccardo Pacifici, le président de la communauté juive de Rome.
 
Le pape a défendu l'attitude de Pie XII, pape de 1939 à 1958, en soulignant que son prédécesseur avait sauvé des juifs «de façon souvent cachée et discrète».
 
Riccardo Pacifici a estimé au contraire que celui-ci aurait dû dénoncer l'Holocauste. «Le silence de Pie XII face à la Shoah continue de faire mal, car quelque chose aurait dû être fait», a-t-il déclaré.
 
 
 (AFP PHOTO / Filippo MONTEFORTE)
Lors de son dernier jour de visite au Royaume-Uni, Benoît XVI béatifie le cardinal Henry Newmann, anglican converti au catholicisme en 1845.
 
Cette visite d’Etat est la première d'un pape au Royaume-Uni depuis le schisme anglican de 1534 lorsque le roi d'Angleterre Henri VIII rompit avec Rome.
 
 (REUTERS/Andrew Winning)
Le pape arrive pour la messe, Place de la Révolution à La Havane.
 
En visite à Cuba, le pape demande l'octroi des «libertés fondamentales» aux Cubains et condamne l'embargo américain.
 
 
 (AFP PHOTO / OSSERVATORE ROMANO)
Le pape gracie Paolo Gabriele, son ancien majordome après quatre mois de détention dans le cadre de l’affaire nommée «Vatileaks».
 
Ce dernier avait été condamné en octobre après avoir divulgué des documents sensibles concernant le souverain pontife et le Vatican.
 
 (REUTERS/Osservatore Romano)
Critiqué par de jeunes chrétiens pour son manque de modernité, le pape s’ouvre aux réseaux sociaux et lance son premier tweet en anglais, de son compte @pontifex.
 
Diffusé en même temps dans sept autres langues (italien, espagnol, portugais, allemand, français, arabe et polonais), il bénit son million de followers.
 
 (AFP PHOTO / Osservatore Romano / HO)

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