Cet article date de plus de sept ans.

Vidéo Frappe en Syrie : la "réponse" américaine "doit être poursuivie au niveau international", affirme Hollande

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 1min
Frappe américaine en Syrie : pour Hollande, "cette opération était une réponse" qui doit "être poursuivie au niveau international"
Frappe américaine en Syrie : pour Hollande, "cette opération était une réponse" qui doit "être poursuivie au niveau international" Frappe américaine en Syrie : pour Hollande, "cette opération était une réponse" qui doit "être poursuivie au niveau international" (FRANCEINFO)
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions

Le président de la République a réagi vendredi 7 avril à la frappe américaine contre une base aérienne du régime de Bachar Al-Assad.

"Je considère que cette opération était une réponse. Elle doit maintenant être poursuivie au niveau international dans le cadre des Nations unies (...) de façon à ce que nous puissions aller jusqu'au bout des sanctions contre Bachar Al-Assad." C'est ce qu'a déclaré François Hollande, vendredi 7 avril, en réaction à la frappe américaine contre une base aérienne en Syrie dans la nuit de jeudi à vendredi. 

Les Etats-Unis ont tiré une soixantaine de missiles sur la base aérienne de Shayrat, près de Homs (Syrie), dans la nuit du jeudi 6 au vendredi 7 avril. Cette frappe visait une base aérienne "associée au programme" syrien d’armes chimiques et qui serait "directement liée" à l'attaque "horrible"  à Khan Cheikhoun.

Un Conseil de défense à 19 heures vendredi

"Il y a aujourd'hui à cause de ce drame une possibilité d'ouvrir des négociations et de permettre une transition politique en Syrie", a expliqué François Hollande, qui veut "empêcher qu'il y ait de nouveau utilisation des armes chimiques et l'écrasement par ce régime de son propre peuple". Le chef de l'Etat a également annoncé la tenue d'un Conseil de défense, à 19 heures, vendredi, "pour voir comment la France peut prolonger cette initiative".

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.