À partir du lundi 11 novembre, la Turquie va renvoyer dans leur pays d’origine les jihadistes étrangers détenus dans leurs prisons. Une décision annoncée par le ministre turc de l'Intérieur, Suleyman Soylu. Depuis, le quai d’Orsay "se contente de quelques rares explications", affirme le journaliste Jean-Baptiste Marteau, en duplex pour le 20 Heures.Trois ou quatre femmes parmi ces jihadistesSur les 1 200 jihadistes détenus dans les prisons turques, on compterait une "dizaine de Français selon les autorités", comme le rappelle Jean-Baptiste Marteau. Il y aurait trois ou quatre femmes. Ces jihadistes sont tous connus et suivis par les autorités. Ils ont par ailleurs déjà fait l’objet de poursuites judiciaires. À leur retour en France, ils seront jugés.