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Monde : l'Afghanistan et le Liban à l'agonie, retour au calme fragile en Afrique du Sud

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Monde : l'Afghanistan et le Liban à l'agonie, retour au calme fragile en Afrique du Sud
Monde : l'Afghanistan et le Liban à l'agonie, retour au calme fragile en Afrique du Sud Monde : l'Afghanistan et le Liban à l'agonie, retour au calme fragile en Afrique du Sud (France 2)
Article rédigé par France 2 - V.Lerouge, montage : L.Soudre
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Le journal de 20 Heures du samedi 17 juillet fait le point sur les conflits qui agitent le monde. Alors que la situation est critique en Afghanistan comme au Liban, l'Afrique du Sud connait, après plusieurs jours d'émeutes, une relative accalmie. 

Un vol en direction de Paris, affrété par le gouvernement français, a quitté Kaboul (Afghanistan) dans la matinée du samedi 17 juillet, avec une centaine de passagers à son bord : des expatriés, mais aussi des chauffeurs, traducteurs ou conseillers afghans ayant travaillé pour la France. Ils quittent le pays malgré eux. "C'est vraiment difficile de quitter l'Afghanistan parce que, d'une part c'est mon pays, c'est ma patrie, je quitte mes parents, mais d'autre part la situation m'oblige vraiment", explique un passager. Depuis deux mois, l'Afghanistan est en proie à d'intenses combats entre les forces afghanes et les talibans. 

Le Liban sous tension, retour au calme en Afrique du Sud 

Au Liban, la colère gronde. L'armée lance des tirs de sommation face aux manifestants, qui jettent pierres et projectiles. Ils dénoncent la pire crise économique et politique de l'histoire du pays, après l'échec de Saad Hariri à former un nouveau gouvernement. "On n'en peut plus, et c'est la faute de tous les hommes politiques", confie un manifestant, qui demande un Premier ministre. En Afrique du Sud, le retour au calme est précaire. Armé de pelles et de balais, les habitants nettoient les rues autour de Johannesburg et de Durban, après plusieurs jours d'émeutes, déclenchées par l'incarcération de l'ancien président Jacob Zuma, pour outrage à la police. Après les pillages, c'est désormais la pénurie qui menace le pays. 

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