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LA PHOTO. La première union civile entre homosexuels à Rome

La nouvelle maire de Rome, Virginia Raggi, a célébré, le 16 septembre 2016, la première union civile entre homosexuels dans la capitale italienne depuis le vote d’une loi en ce sens en mai. L’Italie est le dernier grand pays d’Europe occidentale à accorder un tel droit aux couples du même sexe, en raison, notamment, de l’opposition de l’Eglise catholique.
Article rédigé par Laurent Ribadeau Dumas
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
«Je vous vois très émus, et avec raison, pour un moment important: aujourd'hui naît un nouveau couple et une nouvelle famille», a déclaré Mme Raggi en accueillant au Capitole, la mairie de Rome, Luca De Sario et Francesco Villarusso. «Je vous souhaite une vie intense», a-t-elle ajouté en procédant à la lecture des articles du code civil prévue par cette nouvelle loi. N’ayant pas reçu le soutien du Mouvement Cinq Etoiles (populiste) dont la maire de Rome est membre, le gouvernement de centre gauche a dû revoir son projet de loi pour obtenir l’assentiment du centre droit. Il a finalement opté pour l’union civile, distincte du mariage. Celle-ci ne permet pas, comme le prévoyait le projet initial, d’adopter les enfants naturels du conjoint. (IPA PRESS/SIPA)

Luca De Sario et Francesco Villarusso viennent de s'unir. «Je vous vois très émus, et avec raison, pour un moment important: aujourd'hui naît un nouveau couple et une nouvelle famille», a déclaré Mme Raggi en accueillant au Capitole, la mairie de Rome, Luca De Sario et Francesco Villarusso. «Je vous souhaite une vie intense», a-t-elle ajouté en procédant à la lecture des articles du code civil prévue par cette nouvelle loi. N’ayant pas reçu le soutien du Mouvement Cinq Etoiles (populiste) dont la maire de Rome est membre, le gouvernement de centre gauche a dû revoir son projet de loi pour obtenir l’assentiment du centre droit. Il a finalement opté pour l’union civile, distincte du mariage. Celle-ci ne permet pas, comme le prévoyait le projet initial, d’adopter les enfants naturels du conjoint.

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