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Vidéo “Les nouvelles technologies sont des vrais pouvoirs magiques.“ Elle veut changer le monde grâce à elles

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Mathilde Aglietta veut changer le monde en mettant les nouvelles technologies au service des plus démunis.
VIDEO. “Les nouvelles technologies sont des vrais pouvoirs magiques.“ Elle veut changer le monde grâce à elles Mathilde Aglietta veut changer le monde en mettant les nouvelles technologies au service des plus démunis. (BRUT)
Article rédigé par Brut.
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Mathilde Aglietta veut changer le monde en mettant les nouvelles technologies au service des plus démunis. 

Mathilde Aglietta a co-fondé l’association ShareIT.io qui "développe des solutions numériques pour répondre aux défis de notre société". Réfugiés, autistes… l’association touche à plusieurs causes.

L’intelligence artificielle au service des réfugiés

L’association ShareIT.io travaille notamment avec une autre association qui s’occupe de l’accueil des réfugiés. Pour Mathilde Aglietta, "l’idée est de pouvoir les connecter beaucoup plus rapidement avec ceux qui ont envie de les aider". "Il y a beaucoup de gens qui ont besoin d’aide et beaucoup qui ont envie d’aider", explique-t-elle. Mais, elle estime que le processus de mise en relation entre les aidants et ceux qui sont dans la demande est trop souvent long et laborieux. "L’intelligence artificielle vient juste faciliter cette démarche de mise en relation et vient essayer de limiter la ‘casse’", ajoute Mathilde Aglietta.

Les nouvelles technologies pour aider les autistes 

L’association ShareIT.io travaille aussi avec des psychologues. Elle met en relation des spécialistes et des familles qui pensent que leur enfant souffre d’autisme.

"On fait en sorte que les bonnes personnes puissent se parler", développe Mathilde Aglietta. "L’intelligence artificielle vient détecter ce qu’on appelle des ‘patterns’ comportementaux", ajoute-t-elle. Il s’agit par exemple d’indices autistiques permettant aux psychologues d’avoir plus d’informations pour aider les personnes souffrantes.

Enfin, Mathilde Aglietta aimerait que les entreprises de ce secteur qui détiennent des nouvelles technologies se disent que “leur responsabilité dépasse le cadre du business“. Selon elle, elles doivent se dire : "Comment est-ce qu’on va mettre les technologies qu’on développe au service de la société, au service des plus fragiles ?".

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