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Des référendums de rattachement à la Russie prochainement organisés dans les territoires occupés par les séparatistes prorusses

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Guerre en Ukraine : des référendums de rattachement à la Russie prochainement organisés dans les territoires occupés par les séparatistes prorusses
Guerre en Ukraine : des référendums de rattachement à la Russie prochainement organisés dans les territoires occupés par les séparatistes prorusses Guerre en Ukraine : des référendums de rattachement à la Russie prochainement organisés dans les territoires occupés par les séparatistes prorusses (france 2)
Article rédigé par France 2 - Luc Lacroix
France Télévisions

Le président russe Vladimir Poutine soutient l'organisation de référendums de rattachement à la Russie dans les territoires occupés par les forces prorusses. Le journaliste Luc Lacroix, en direct de Rostov-sur-le-Don (Russie), à la frontière, mercredi 21 septembre, fait le point sur la situation. 

Le président russe Vladimir Poutine, qui s'est exprimé mercredi 21 septembre, souhaite organiser des référendums de rattachement à la Russie dans les territoires occupés. "Cela concerne non seulement le Donbass, mais aussi deux régions du sud de l'Ukraine", précise le journaliste Luc Lacroix, en direct de Rostov-sur-le-Don (Russie), à la frontière ukrainienne, pour le 8 Heures de France 2. L'issue de ces référendums d'annexion "ne fait guère de doute, notamment parce que les habitants réfugiés côté ukrainien ne pourront pas s'exprimer", ajoute Luc Lacroix. "Le but pour la Russie est de donner un vernis de l'égalité à l'annexion de ces territoires", analyse le journaliste. 

Une mobilisation générale aurait été une décision "impopulaire"

Juste avant l'annonce de la mobilisation partielle des réservistes russes par Vladimir Poutine lors de son allocution télévisée, Luc Lacroix expliquait que jusque-là, le Kremlin s'était toujours refusé à mettre en place une mobilisation générale, "parce que ça risque d'être impopulaire". "Si c'était le cas, ce que ça changerait, c'est que cette guerre deviendrait quelque chose qui toucherait intimement chacun des Russes, qui pourraient avoir un frère ou un fils envoyé au front", a-t-il poursuivi.

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