"Aucun désaccord" entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel
Hier encore, les deux États semblaient sur deux longueurs d'ondes. La France affirmant ne pas partager les inquiétudes allemandes sur l'euro. La ministre Christine Lagarde déclarait que selon elle, "l'euro n'était pas en danger". Paris semblant aussi sceptique quand à "l'option nucléaire" de Berlin, consistant à durcir les règles, c'est-à-dire sanctionner les dérapages. Cette décision, prise sans concertation avec les autres États membres,
avait affiché au grand jour les divisions des
Européens et provoqué une nouvelle dégringolade des Bourses
mondiales.
Pourtant, si l'on en croit Nicolas Sarkozy, c'est un malentendu. "Sur mes relations avec Mme Merkel, nous faisons tout pour qu'elles soient
dans l'harmonie, qu'elles s'additionnent, qu'elles se complètent et qu'elles
montrent une volonté commune. Nous n'avons pas de désaccords ensemble".
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