Croix gammées, références au troisième Reich, marionnettiste... les caricatures des manifestants ont choisi : pour eux, l'Europe a un visage, celui de la chancelière allemande, qui serait la responsable numéro un des choix économiques de la zone euro.Résultat, le passé nazi se superpose à l'actualité allemande et européenne, même dans des pays qui n'ont pas connu l'occupation nazie, comme l'Espagne ou le Portugal. Quand l'anti-libéralisme se double d'anti-germanisme. Revue de caricatures.