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Durban : les négociateurs jouent les prolongations

Devant les critiques de l’Union européenne comme des pays les plus vulnérables sur un projet d’accord considéré comme insuffisant, les pourparlers ont été suspendus avant de reprendre à huis clos.
Article rédigé par Sylvie Johnsson
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Rogan Ward Reuters)

Les représentants des 190
pays réunis à Durban depuis deux semaines se sont donc donnés quelques heures supplémentaires pour tenter de trouver un successeur  présentable au protocole de Kyoto.

L'objectif est un accord sur un nouveau régime  de réductions des émissions de gaz à effet de serre, qui pourrait être plus ou moins contraignant. La mention d'un  "cadre légal " a été jugée trop floue, elle pourrait être remplacée par celle d'un  "protocole ou d'un instrument légal ".

Le débat porte également sur l'entrée en vigueur du nouveau dispositif. Une version avec les mots "après 2020 " a été retoquée.

Reste enfin à savoir si la Chine, l'Inde et les Etats-Unis qui ne sont pas liés par le protocole de Kyoto, le seraient par un éventuel accord de Durban.

 

 

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