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Vidéo Le discours fort d’António Guterres avant la COP15 sur la biodiversité

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Ce mercredi 7 décembre s’est ouvert la COP15 sur la biodiversité à Montréal, au Canada. L’objectif : préserver la biodiversité en mettant en place des axes de protection d’ici 2030. La veille de l’ouverture, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, s’est exprimé sur la nécessité d’agir.
VIDEO. Le discours fort d’António Guterres avant la COP15 sur la biodiversité Ce mercredi 7 décembre s’est ouvert la COP15 sur la biodiversité à Montréal, au Canada. L’objectif : préserver la biodiversité en mettant en place des axes de protection d’ici 2030. La veille de l’ouverture, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, s’est exprimé sur la nécessité d’agir. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions
Ce mercredi 7 décembre s’est ouvert la COP15 sur la biodiversité à Montréal, au Canada. L’objectif : préserver la biodiversité en mettant en place des axes de protection d’ici 2030. La veille de l’ouverture, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, s’est exprimé sur la nécessité d’agir.

Par son appétit insatiable de croissance économique incontrôlée et inégalitaire, l’humanité est devenue une arme d’extinction massive.” Voici ce qu’a déclaré António Guterres, secrétaire général de l’ONU, en amont de l’ouverture de la COP15 sur la biodiversité au Canada. Cette rencontre est similaire aux habituelles Conventions des Parties (COP) qui prennent des mesures pour lutter contre le réchauffement climatique. La dernière s'est d’ailleurs déroulée en novembre 2022, la COP27 à Charm el-Cheikh. Mais cette rencontre se veut mettre en place des accords afin de mieux protéger la biodiversité d’ici 2030. 

“C’est à nous de réparer le monde que nous avons”

António Guterres s’est exprimé à la foulée de Justin Trudeau, Premier ministre du Canada. “Je suis toujours profondément inspiré par les jeunes militants écologistes qui, partout dans le monde, appellent au changement et à l’action. Mais je suis parfaitement conscient que nous ne pouvons pas leur faire payer les pots cassés. C’est à nous d’assumer la responsabilité des dommages que nous avons causés et de prendre les mesures nécessaires pour les réparer. Oublions les rêveries de certains milliardaires, il n’y a pas de planète B.

C’est à nous de réparer le monde que nous avons. C’est à nous de chérir ce merveilleux cadeau. À nous de faire la paix avec la nature. Je vous en conjure, faites ce qu’il faut. Agissez pour la nature, agissez pour la biodiversité, agissez pour l’humanité. Ensemble, adoptons et mettons en œuvre un cadre ambitieux, un pacte de paix avec la nature et transmettons à nos enfants un monde meilleur, plus vert, plus bleu et plus durable”, conclut le secrétaire général. 

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