Marseille : trafic de nourrissons
Les Etats-Unis ont semble-t-il trouvé en la France leur principal allié. Les inspecteurs de l'ONU ont termine leur mission et sont arrives au Liban.
Il n'y a plus d'inspecteurs de l'ONU depuis ce matin en Syrie. Ils ont quitté le pays à bord de ces véhicules pour le Liban. Un départ qui ouvre la voie aux frappes occidentales contre la Syrie Le régime de Bachar al-Assad dit s'attendre ce matin à une agression à tout moment et être prêt à riposter. Hier soir, Barack Obama a répété qu'il voulait punir Damas, accuse d'être responsable de l'attaque chimique présumée du 21/0.
Nous étudions la possibilité d'une action limitée, ciblée, mais encore une fois, nous n'envisageons pas un engagement de grande ampleur et il n'y aura pas d'envoi de troupes au sol.
Barack Obama peut compter sur le soutien de François Hollande, déterminé à agir en Syrie, et, pour les deux alliés, il semble désormais difficile de faire marche arrière. Comptant sur la coalition la plus large possible, ils risquent de se retrouver un peu seuls. Plusieurs pays ont déjà dit non à toute intervention en Syrie. La Grande-Bretatgne, à la surprise générale, l'Allemagne, l'Italie, ou encore le Canada, et d'autres ne veulent pas intervenir sans mandat de l'ONU : Espagne, Pays-Bas, Suède, Norvège, Belgique. En plus des Etats-Unis et de la France, il n'y a donc que l'Australie, le Danemark, la Turquie et les pays du Golfe pour soutenir une action militaire.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.