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Cybersécurité : l'application de messagerie Olvid est "l'une des plus sécurisées au monde", assure le ministre Jean-Noël Barrot

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Les ministères doivent remplacer leurs applications de messageries instantanées par l'application française Olvid. Invité du 12/13 info, jeudi 30 novembre, Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition numérique et des télécommunications, revient sur la sécurité de cette application.
Cybersécurité : l'application de messagerie Olvid est "l'une des plus sécurisées au monde", assure le ministre Jean-Noël Barrot Les ministères doivent remplacer leurs applications de messageries instantanées par l'application française Olvid. Invité du 12/13 info, jeudi 30 novembre, Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition numérique et des télécommunications, revient sur la sécurité de cette application. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - E.Tran Nguyen
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Les ministères doivent remplacer leurs applications de messageries instantanées par l'application française Olvid. Invité du 12/13 info, jeudi 30 novembre, Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition numérique et des télécommunications, revient sur la sécurité de cette application.

La Première ministre pousse les ministères à utiliser l'application française de messagerie instantanée Olvid, en remplacement d'autres applications comme WhatsApp"C'est une bonne nouvelle", se réjouit Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de la Transition numérique et des télécommunications, dans le 12/13 info, jeudi 30 novembre. "Olvid, c'est une solution qui est 100 % française,100 % sécurisée. C'est l'une des solutions les plus sécurisées au monde", assure le ministre.

"Un petit effort à consentir au départ"

Olvid ne demande pas de renseigner de numéro de téléphone, d'adresse mail, de nom ou de date de naissance quand on l'installe. À la place d'un numéro de téléphone, les utilisateurs doivent s'échanger un QR code puis un code à quatre chiffres. Le plus simple est donc de rencontrer physiquement la personne avec qui l'on veut discuter. "Il y a un petit effort à consentir au départ, et après, c'est la sécurité", indique Jean-Noël Barrot.

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