Cet article date de plus de quatorze ans.

Les conducteurs ont exercé leur droit de retrait vendredi après l'agression jeudi de l'un de leurs collègues

Vers 19h50, à proximité de la gare de Metz, un automobiliste est monté dans un bus et a frappé son chauffeur "avec une batte de base-ball ou un manche de pioche", a expliqué le directeur marketing de la TCRM, Hugues de Boisriou. Les raisons de l'altercation demeurent inconnues.Le conducteur a dû être hospitalisé.
Article rédigé par France2.fr
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
Les collègues du chauffeur de bus ont décidé d'exercer leur droit de retrait, pour une durée indéterminée. (AFP - Anne -Christine Poujoulat)

Vers 19h50, à proximité de la gare de Metz, un automobiliste est monté dans un bus et a frappé son chauffeur "avec une batte de base-ball ou un manche de pioche", a expliqué le directeur marketing de la TCRM, Hugues de Boisriou. Les raisons de l'altercation demeurent inconnues.

Le conducteur a dû être hospitalisé.

L'agresseur a été interpellé par les forces de l'ordre "dans les vingt minutes" suivant l'agression, a-t-il précisé. L'ensemble des collègues du chauffeur de bus ont décidé d'exercer leur droit de retrait vendredi matin, pour une durée indéterminée, alors que "normalement, 60 bus devaient sortir ce matin", a poursuivi Hugues de Boisriou.

Une réunion du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) devait avoir lieu vendredi matin.

Les Transports en commun de la région messine comptent une quarantaine de lignes de bus et 460 conducteurs.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.