Grenoble : un homme interpellé dans le cadre de l’affaire du "violeur à trottinette"

Publié
Durée de la vidéo : 1 min
L'heure est au soulagement dans le cadre de l’affaire du "violeur à trottinette". Un homme de 22 ans a été arrêté vendredi 5 avril. Il est soupçonné de viols et d'agressions sexuelles sur des femmes entre 20 et 27 ans.
Grenoble : un homme interpellé dans le cadre de l’affaire du "violeur à trottinette" L'heure est au soulagement dans le cadre de l’affaire du "violeur à trottinette". Un homme de 22 ans a été arrêté vendredi 5 avril. Il est soupçonné de viols et d'agressions sexuelles sur des femmes entre 20 et 27 ans. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
franceinfo
L'heure est au soulagement dans le cadre de l’affaire du "violeur à trottinette". Un homme de 22 ans a été arrêté vendredi 5 avril. Il est soupçonné de viols et d'agressions sexuelles sur des femmes entre 20 et 27 ans.

L'homme placé en garde à vue vendredi 5 avril est entendu par les policiers, samedi 6 avril. Une expertise ADN a permis de le confondre sur l'une des affaires pour lesquelles il était activement recherché. À Grenoble (Isère), les enquêteurs l'ont surnommé "l'homme à la trottinette". Il utilisait ce moyen de locomotion pour suivre ses victimes. Il est soupçonné d'avoir commis deux viols, une tentative de viol, une agression sexuelle et plusieurs faits de violence. 

Un seul viol imputable pour le moment 

Depuis plusieurs semaines, d’importants moyens policiers ont été déployés dans toute l’agglomération jusqu’à l’interpellation du vendredi 5 avril. Dans ces différentes affaires, les viols et les agressions recensées semblent pour la plupart avoir été commis de nuit par un homme vêtu de noir qui circule sur une trottinette noire pour repérer ses victimes. Un climat de crainte et d'appréhension a marqué la ville. Les jeunes femmes rencontrées se disent un peu plus rassurées. À ce stade de l'enquête, un seul viol peut être imputé au suspect, précise le parquet de Grenoble. 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.