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Feuilleton 2/5 : "Le bonheur est sur le pont"

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Article rédigé par franceinfo
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"Le bonheur est sur le pont", un feuilleton signe S. Rodier, O. Martinez et G. Lancien. Cette semaine, on effectue une croisière sur la Méditerranée. Les passagers commencent à trouver leurs repères à bord du Preziosa. Notre infirmière, Catherine, veut tester toutes les installations.

Après une nuit de navigation, le paquebot approche des côtes italiennes, escale a Gênes. Les premiers passagers se réveillent. Catherine découvre le buffet du petit déjeuner.

J'ai trouvé tout ce que je voulais.

Chaque matin, les passagers engloutissent 6.000 petits pains et presque autant de croissants.

Il y a beaucoup de monde. C'est une petite ville sur l'eau. ça grouille de partout. Mais bon, on ne peut pas tout avoir.

Sur le pont, pas un passager en vue, la pluie ne cesse de tomber. Pour Catherine, c'est l'endroit idéal.

Il pleut beaucoup mais il ne fait pas froid. J'espère que ça va se lever pour pouvoir se promener cet après-midi. En attendant, mouillée pour mouillée autant aller dans l'eau.

Même pas une hésitation. Après quelques brasses sous les éclairs, détente dans le bain à remoue.

Si on m'avait dit qu'un jour je me baignerai à Gênes sous l'orage dans de l'eau froide, seule dans une piscine, je ne l'aurai pas cru.

13 ponts plus bas, c'est le ravitaillement. En quelques heures, 19.000 kg de légumes, de fruits et des litres de boissons sont chargés dans les soutes. Une opération supervisée parle chef cuisinier en personne.

Tous les fruits et légumes sont frais. Nous les vérifions tous les jours. Nous embarquons 350 kg de poireaux frais, 300 kg de fenouil, 800 kg de salade, 1800 kg de tomates, et 2000 kg de carrottes par semaine. Au maximum, nous pouvons tenir 9 jours.

L'heure du déjeuner approche, en cuisine dernière consigne du chef.

On découpe en taillant les côtés.

Son défi, cuisiner 300 kg de filets de poisson, du poulet et du boeuf. Du petit déjeuner au dîner, ils préparent entre 40 et 50.000 plats parjour.

Les Italiens préfèrent les pâtes, les Français sont très difficiles à satisfaire. C'est. Un peu difficile mais on essaie.

En surface, les deux couples de Marseillais trouvent leurs marques.

On a moins de problèmes qu'hier soir. Hier, on est allés d'un côte, de l'autre.

A un détail près.

C'est dommage qu'on n'arrive pas a communiquer avec les gens car ce sont des Italiens, des Anglais. Des Français, il y en a peu. C'est un bémol pour la croisière.

Cet après-midi, ils préfèrent rester sur le bateau. Catherine ne veut pas passer à côté de l'Italie.

Bongiorno.

La visite du centre historique de Gênes, sa place principale, les palais et sa fameuse cathédrale de San Lorenzo.

Et non, San Lorenzo n'est pas là. C'est fermé. C'est dommage, je regrette car je voulais voir l'intérieur. L'extérieur est prometteur.

Pas de visite mais quelques souvenirs capturés.

Pour ma famille.

Une dernière ruelle.

Ce palais est magnifique, il est encastré.

Dans moins de deux heures, le bateau aura quitté Gênes. Ceux qui n'ont pas mis le pied à terre profite de sa tranquilité. Marie-France a enfin rencontré des Français. Après 9 heures d'escale, départ sous un ciel menaçant. Le paquebot va naviguer toute la nuit pour une arrivée en fin de matinée dans la baie de Naples.

"Le bonheur est sur le pont", un feuilleton signe S. Rodier, O. Martinez et G. Lancien.

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