L’affaire a résonné jusqu’au sommet de l’État. Les quatre policiers, mis en cause dans les violences commises sur Michel Zecler, producteur de musique, samedi 21 novembre, sont toujours en garde à vue, comme l’explique Nathalie Perez, journaliste à France Télévisions, en direct samedi 28 novembre pour le 12/13, depuis le siège de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). "Leur garde à vue pourrait se poursuivre jusqu’à dimanche 29 novembre après-midi. Une confrontation devrait être organisée entre eux et le producteur agressé. Les enquêteurs se demandent toujours ce qui a pu déclencher une violence telle qu’on la voit sur les images."Un courrier de Didier Lallement"Les vidéos ont choqué jusque dans les rangs des policiers. Le préfet de police, Didier Lallement, a fait un courrier rappelant à ses troupes, je cite, 'quoi qu’il arrive, il faut toujours garder une ligne républicaine'", a détaillé Nathalie Perez.