Cet article date de plus de cinq ans.

Tuerie à la préfecture de police de Paris : Christophe Castaner bientôt auditionné par la délégation parlementaire au renseignement

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 1min
Tuerie à la préfecture de police : Christophe Castaner bientôt auditionné par la délégation parlementaire au renseignement
Tuerie à la préfecture de police : Christophe Castaner bientôt auditionné par la délégation parlementaire au renseignement Tuerie à la préfecture de police : Christophe Castaner bientôt auditionné par la délégation parlementaire au renseignement (France 2)
Article rédigé par France 2
France Télévisions
France 2

Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, est sous le feu des critiques depuis le drame à la préfecture de police de Paris, survenu jeudi 3 octobre. L'opposition réclame sa démission. Les précisions de Jeff Wittenberg, en duplex depuis la place Beauvau, à Paris. 

Très décrié depuis l'attaque mortelle à la préfecture de police de Paris, jeudi 3 octobre, et appelé à la démission par l'opposition, Christophe Castaner sera auditionné deux fois cette semaine, mardi 8 et jeudi 10 octobre. "Mardi, ce sera à l'Assemblée nationale, devant la délégation chargée du renseignement. À huis clos, Christophe Castaner devra s'expliquer sur les dysfonctionnements. La deuxième audition, publique et ouverte à la presse, sera au Sénat. Une nouvelle fois, Christophe Castaner sera soumis au feu des questions des parlementaires et mis à l'épreuve", indique le journaliste de France 2 Jeff Wittenberg, en duplex depuis la place Beauvau, à Paris.

Le gouvernement fait bloc derrière lui

"Le ministre est indiscutablement fragilisé, mais n'est pas lâché par l'exécutif. La majorité et le Premier ministre font bloc derrière lui. Pas question d'envisager, à ce stade, une éventuelle démission, comme le demande l'opposition. La preuve, il participera lundi après-midi au très tendu et sensible débat sur l'immigration à l'Assemblée nationale", conclut-il.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.