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En images Des dizaines de milliers de personnes dans la rue après l'attaque contre "Charlie Hebdo"

Anne Brigaudeau

France Télévisions

Publié le 07/01/2015 19:57 Mis à jour le 07/01/2015 22:19

Temps de lecture : 1 min

L'attentat contre la rédaction du journal satirique, mercredi, a fait au moins douze morts et déclenché un immense mouvement de soutien en France et à l'étranger.

Immense émotion après l'attaque contre Charlie Hebdo qui a fait au moins douze morts et onze blessés, selon un bilan provisoire. Quatre des blessés sont dans un état grave. Parmi les victimes figurent les dessinateurs Charb, Wolinski, Cabu, Tignous, l'économiste Bernard Maris et deux policiers. La rédaction de Charlie Hebdo a été décimée.

Après cette tuerie, des rassemblements ont eu lieu dans des dizaines de villes de France, mais aussi en Europe, notamment à Bruxelles, Berlin et Madrid. Omniprésente, sous forme d'affiche, sticker, banderole ou simple feuille, cette affirmation de soutien : "Je suis Charlie". Récit en images.

>> Attentat contre Charlie Hebdo : suivez la situation en direct

Dès mercredi en début après-midi, les premiers gestes de soutien : telle cette femme portant des robes roses devant le siège de Charlie Hebdo. (CITIZENSIDE/YANN KORBI / AFP)

"Je suis Charlie" : la page d'accueil du site de l'hebdomadaire est devenue l'emblème repris par les internautes pour manifester leur soutien, après l'attentat meurtrier qui a décimé la rédaction de Charlie Hebdo. Parmi les victimes : les dessinateurs Charb, Tignous, Cabu, Wolinski, et l'économiste Bernard Maris.  (- / CHARLIE HEBDO) — "Je suis Charlie" : la page d'accueil du site de l'hebdomadaire est devenue l'emblème repris par les internautes pour manifester leur soutien, après l'attentat meurtrier qui a décimé la rédaction de Charlie Hebdo. Parmi les victimes : les dessinateurs Charb, Tignous, Cabu, Wolinski, et l'économiste Bernard Maris. (- / CHARLIE HEBDO)

"Je suis Charlie" : pancarte brandie place de la République à Paris par une des premières arrivantes. Des dizaines d'associations, partis politiques, syndicats, journalistes avaient appelé à se rassembler sur cette place pour manifester leur soutien et leur solidarité après le sanglant attentat contre Charlie Hebdo. (JOEL SAGET / AFP)

D'autres ont ajouté, au signe de ralliement "Je suis Charlie", une bougie allumée. (MARTIN BUREAU / AFP)

Parmi les unes de Charlie Hebdo brandies place de la République : "l'amour plus fort que la haine". (MARTIN BUREAU / AFP)

Place de la République encore, cette jeune femme brandit la dernière Une de Charlie Hebdo, parue mercredi 7 janvier : "Les prédictions du mage Houellebecq : en 2015, je prends mes dents, en 2022, je fais Ramadan." Ce titre renvoie à la parution, ce même jour, du dernier roman de Michel Houellebecq, Soumission, où le narrateur se convertit à l'islam. (DOMINIQUE FAGET / AFP) — Place de la République encore, cette jeune femme brandit la dernière Une de Charlie Hebdo, parue mercredi 7 janvier : "Les prédictions du mage Houellebecq : en 2015, je prends mes dents, en 2022, je fais Ramadan." Ce titre renvoie à la parution, ce même jour, du dernier roman de Michel Houellebecq, Soumission, où le narrateur se convertit à l'islam. (DOMINIQUE FAGET / AFP)

"Liberté d'expression" : place de la République, cette affichette rappelle que huit journalistes ont été tués dans l'attaque visant l'hebdomadaire satirique.  (MARTIN BUREAU / AFP) — "Liberté d'expression" : place de la République, cette affichette rappelle que huit journalistes ont été tués dans l'attaque visant l'hebdomadaire satirique. (MARTIN BUREAU / AFP)

Dans la foule présente place de la République, des étudiants journalistes se proclamaient "Solidaires". (DOMINIQUE FAGET / AFP)

Partout ailleurs en France ont eu lieu des rassemblements de soutien après la tuerie à Charlie Hebdo, comme le montre cette foule à Rennes. (DAMIEN MEYER / AFP)

A Nice aussi, des manifestants venus montrer le soutien brandissent de simples pancartes : "Je suis Charlie" (VALERY HACHE / AFP)

A Marseille encore, deux stylos brandis en solidarité avec la liberté d'expression. (BORIS HORVAT / AFP)

A Marseille, une femme montre, écrite sur une feuille blanche, cette citation de Charb : "je préfère mourir debout que vivre à genoux". Charb fait partie des quatre dessinateurs tués par les assaillants. (BORIS HORVAT / AFP)

A Marseille, le 7 janvier 2015, un portrait de Georges Wolinski, tué à 80 ans par les assaillants.  (BORIS HORVAT / AFP) — A Marseille, le 7 janvier 2015, un portrait de Georges Wolinski, tué à 80 ans par les assaillants. (BORIS HORVAT / AFP)

"De tout coeur à Charlie Hebdo", a écrit cette jeune fille, à Strasbourg, où la foule, place Kléber, chantait "Charlie Liberté". (PATRICK HERTZOG / AFP)

A Berlin, en Allemagne, un jeune homme place une bougie devant un dessin représentant Cabu, Charb et Wolinski, accompagnés de ces deux mentions : "RIP", "victimes de leur succès".  (JOHN MACDOUGALL / AFP) — A Berlin, en Allemagne, un jeune homme place une bougie devant un dessin représentant Cabu, Charb et Wolinski, accompagnés de ces deux mentions : "RIP", "victimes de leur succès". (JOHN MACDOUGALL / AFP)

A Montpellier, en face du club de la presse à Montpellier. (SYLVAIN THOMAS / AFP)

Et une proposition place de la République : "Cabu au Panthéon". Cabu est un des quatre dessinateurs tués mercredi. (JOEL SAGET / AFP)

A Londres, devant Trafalgar Square, des Français lèvent haut le stylo, pour défendre la liberté d'expression. (LEON NEAL / AFP)

Des dizaines de bougies alignées à Lyon, en souvenir des victimes de l'attentat commis contre Charlie Hebdo. (JEFF PACHOUD / AFP)

Et encore un crayon brandi, mais, cette fois, dessiné : rassemblement pour la liberté d'expression en France au Dam Square, à Amsterdam, aux Pays-Bas. (EVERT ELZINGA / ANP) — Et encore un crayon brandi, mais, cette fois, dessiné : rassemblement pour la liberté d'expression en France au Dam Square, à Amsterdam, aux Pays-Bas. (EVERT ELZINGA / ANP)

Encore à Amsterdam, la bougie tenue par un enfant. (GENT SHKULLAKU / AFP)

Rassemblement dans la capitale allemande, à Berlin, porte de Brandebourg. Avec une autre Une de Charlie Hebdo : "Intouchables 2" (BERND VON JUTRCZENKA / DPA)

A Tirana, des journalistes albanais affichent leur solidarité avec l'équipe de Charlie. (GENT SHKULLAKU / AFP)

Charlie écrit en bougies allumées, à Strasbourg. (PATRICK HERTZOG / AFP)

Place du Capitole à Toulouse, une foule dense. (ERIC CABANIS / AFP)

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