Crash de l'A320 : la nuit ralentit l'enquête
Anne-Sophie Maxime est sur les lieux du crash de l'Airbus A320, dans les Alpes, pour faire un point sur l'avancée de l'enquête ce 24 mars.
Les fouilles sont compliquées sur le site du crash de l'Airbus A320 qui s'est désintégré sur une montagne des Alpes-de-Haute-Provence ce mardi 24 mars, et la tombée de la nuit complique encore plus la tâche des enquêteurs.
"Les gendarmes viennent de me confirmer que les rotations par hélicoptère vers la zone de crash ont cessé en raison de la nuit. Ici, au PC opérationnel, les secours quittent peu à peu les lieux. Seuls cinq gendarmes des Pelotons de haute montagne vont rester sur place toute la nuit pour sécuriser les lieux", explique Anne-Sophie Maxime, en direct de Seyne-les-Alpes.
L'enquête pourra continuer demain dès l'aube
Le site de l'accident est interdit à tout survol aérien par arrêté préfectoral. Les recherches d'indices et des corps des 150 victimes pourront continuer mercredi matin vers 5h30. Les familles des victimes, principalement espagnoles et allemandes, pourront venir se recueillir dans une chapelle à proximité. Angela Merkel, François Hollande et le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy doivent également venir sur place le 25 mars.
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