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08h34 : Marion Maréchal, qui a rallié dimanche Eric Zemmour, a affirmé qu'elle voterait "sans hésitation" pour Marine Le Pen si celle-ci parvenait au second tour face à Emmanuel Macron. Elle a toutefois défendu la capacité de son candidat à "affaiblir le cordon sanitaire" entre la droite et l'extrême droite.
20h49 : Bonsoir @Samuel. Vous pouvez retrouver les déclarations de patrimoine des douze candidats à l'élection présidentielle sur le site de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique.
20h47 : Bonsoir FI. Où peut-on voir ces déclarations s'il-vous-plaît ?
21h08 : Voici le montant des patrimoines des candidats à l'élection présidentielle. Leurs déclarations de patrimoine viennent d'être publiées par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique.
- Valérie Pécresse – 9,7 millions d'euros
- Eric Zemmour – 4,2 millions d'euros
- Nicolas Dupont-Aignan – 2 millions d'euros
- Jean-Luc Mélenchon – 1,4 million d'euros
- Marine Le Pen – 1,2 million d'euros
- Jean Lassalle – 630 000 euros
- Anne Hidalgo – 575 000 euros
- Emmanuel Macron – 550 000 euros
- Yannick Jadot – 412 000 euros
- Fabien Roussel - 220 000 euros
- Nathalie Arthaud – 219 000 euros
- Philippe Poutou – 122 000 euros
20h33 : La candidate du Rassemblement national, Marine Le Pen, a obtenu pour sa campagne présidentielle un prêt de 10,7 millions d'euros de la part d'une banque hongroise, d'après sa déclaration de patrimoine. Sa déclaration confirme par ailleurs que la candidate a été rémunérée en 2021 comme présidente du RN bien que ce poste soit occupé depuis septembre par Jordan Bardella.
19h14 : La primaire populaire n'en finit pas de se fracturer après la décision de son conseil d'administration de soutenir Jean-Luc Mélenchon. L'une des fondatrices, Mathilde Imer, a quitté le mouvement dans la foulée et 29 soutiens de ce mouvement, dont la sociologue Dominique Meda et le réalisateur Cyril Dion, ont indiqué eux aussi se désolidariser.
15h27 : Pour l'historien des médias Patrick Eveno, la suppression de la redevance audiovisuelle, proposée par Emmanuel Macron lors de son premier déplacement de candidat hier, n'empêche pas de "pérenniser le financement du service public".

(LUDOVIC MARIN / POOL / AFP)
15h27 : Dans une enquête vidéo de Mediapart (article abonnés), huit femmes accusent le candidat d'extrême droite à l'élection présidentielle Eric Zemmour de "comportements inappropriés et d'agressions sexuelles". Certaines femmes mettant en cause le candidat s'expriment face caméra, pour la première fois.

(ERIC PIERMONT / AFP)
13h49 : Bonjour , le candidat du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) à l'élection présidentielle, Philippe Poutou, est en effet convoqué par la police afin d'être entendu en tant que suspect dans le cadre d'une enquête pour "injure publique envers une administration publique". Le candidat avait déclaré que "la police tue" et "a tué". Son audition, qui devait avoir lieu ce matin, a toutefois été reportée.
13h49 : J'ai lu ce matin que Poutou avait été convoqué par La Police ! En savez-vous plus ? Merci.
13h36 : Lors de son premier déplacement en tant que candidat à l'élection présidentielle, à Poissy (Yvelines), Emmanuel Macron s'est engagé à supprimer la redevance télé s'il est réélu. A quoi sert cette redevance ? Quels candidats proposent de la supprimer ? Explications.

(RICCARDO MILANI / HANS LUCAS / AFP)
11h51 : Mediapart publie une nouvelle enquête (lien réservé aux abonnés), en vidéo, sur les accusations d'agression sexuelle visant Eric Zemmour. Huit femmes y témoignent, dont certaines à visage découvert, de faits commis entre 1999 et 2019. Certaines avaient déjà témoigné dans une précédent enquête du site, écrite cette fois, mais d'autres témoignages sont inédits. L'enquête n'est accessible qu'aux abonnés mais un extrait est en accès libre.
10h20 : "On veut enfermer la campagne électorale dans un sujet qui ne sera pas décisif dans la France des 10 ans, des 20 ans [à venir]."
Invité de BFMTV et RMC ce matin, Eric Zemmour a déploré l'attention portée à la guerre en Ukraine (et au Covid-19) dans la campagne électorale. Il a également exprimé ses doutes sur la politique européenne contre la Russie : "Il faut faire attention à ce que les sanctions infligées à Vladimir Poutine, ne se retournent pas contre les Français" en termes de pouvoir d'achat.
10h10 : Vingt-neuf soutiens de la Primaire populaire annoncent se désolidariser du soutien à Jean-Luc Mélenchon annoncé par les organisateurs. Ils publient une tribune sur le site du JDD, notamment signée par le réalisateur Cyril Dion, la sociologue Dominique Méda et l'ex-candidate Charlotte Marchandise. "Notre désaccord ne porte pas sur la personne que le conseil d’administration a choisi de soutenir, mais sur la méthode", un vote de 30 administrateurs, écrivent-ils.
10h20 : Gabriel Attal et Christophe Castaner, sur France Inter et France 2 respectivement, ont réagi à la promesse d'Emmanuel Macron de supprimer la redevance qui finance le service public de l'audiovisuel. "On garantira son financement", par exemple "un budget voté pour cinq ans, comme cela existe pour certains secteurs de l'Etat", a expliqué Gabriel Attal.
09h47 : "Le droit des femmes est un sujet qui est supposé être essentiel dans notre société. Et pourtant, c'est un sujet qui est absent des programmes de certains candidats et candidates."
En cette journée internationale des droits des femmes, la porte-parole de l'association Osez le féminisme déplore sur franceinfo le peu d'engagement de nombreux candidats à ce sujet. Elle n'est pas plus tendre avec l'action d'Emmanuel Macron dans ce domaine : "Bien souvent, cela a été des effets d'annonces qui n'ont pas été suivis de véritables moyens".
08h52 : La rencontre d'Emmanuel Macron avec des citoyens n'était pas pour autant sans filtre. France Inter révèle ce matin que les questions posées au président sortant étaient déjà écrites sur les fiches du maire de Poissy (Yvelines) Karl Olive. Ce soutien du chef de l'Etat donne sa "parole d'honneur" qu'elles n'avaient pas été dévoilées à Emmanuel Macron avant d'être posées, et qu'il les avait simplement sélectionnées pour mieux "thématiser" le débat : "J’ai reçu des dizaines de questions, j’ai choisi les plus pertinentes".

(LUDOVIC MARIN / AFP)
08h51 : "Vous donnez cinq minutes à chacun des candidats, vous arrivez à une situation où vous avez deux heures de candidats qui vont critiquer Emmanuel Macron, et on lui dira 'Vous avez seulement 10 minutes pour répondre'. Ce n'est pas un débat équilibré."
Christophe Castaner défend sur France 2 le choix d'Emmanuel Macron de ne pas débattre avec les autres candidats avant le premier tour. "Il ira au contact avec les Français, il ira se confronter avec les journalistes", assure le patron des députés LREM, prenant pour exemple le déplacement à Poissy (Yvelines) hier soir.