Le meeting organisé dimanche 13 février devait permettre à Valérie Pécresse, candidate Les Républicains (LR), de fendre l’armure. Dans cette campagne, Valérie Pécresse se présente comme "la femme à abattre", qui concentre toutes les attaques. Avec une gestuelle un peu appuyée face à 6 000 militants, elle tente de convaincre. "Je suis cette femme française indomptable. Et je le dis aujourd’hui, rien ne m’arrêtera", a-t-elle déclaré.Valérie Pécresse tente de rendre coup pour coupY croire en dépit des ralliements de quatre personnalités de droite à Emmanuel Macron, cette semaine, dont l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy, Éric Woerth qui tacle la candidate. Valérie Pécresse doit rester concentrée malgré les flèches décochées par Éric Zemmour, samedi 12 février. "Non, Valérie Pécresse n’est pas de droite. Vous n’aurez même pas une moitié de Zemmour", a-t-il déclaré. Alors la candidate tente de rendre coup pour coup à Éric Zemmour d’abord, puis Emmanuel Macron, qu’elle dit être la seule à pouvoir battre.