Valérie Trierweiler renonce à la télé et regrette son tweet
Dans cette interview accordée à Ouest-France, la
compagne du président de la République explique pourquoi elle a mis fin à
son projet de revenir à la télévision avec le groupe Canal+ : "Je
comprends que,
pour certains, être la compagne du Président et travailler pour une
télévision puisse susciter des interrogations voire un trouble, c'est
pour cette raison que je ne pas donne pas suite. Je n'oublie pas la
chance dont j'ai bénéficié dans la vie. Il est temps pour moi de rendre,
en me mettant au service des autres ; et des enfants en particulier " .
Elle
ne cessera pas pour autant d'assurer une chronique dans les colonnes de
Paris-Match: "Mes enfants sont à ma charge et je ne vois pas comment
faire sans salaire."
"Le tweet, une erreur que je regrette"
Valérie Trierweiler fait aussi un nouveau mea culpa sur l'affaire du tweet en faveur d'Olivier Falorni, concurrent de Ségolène Royal aux législatives à La Rochelle en juin dernier. " C'était une erreur que je regrette. J'ai été maladroite puisque cela a
été mal interprété. Je n'avais pas encore réalisé que je n'étais plus
seulement une simple citoyenne. Cela ne se reproduira pas ", dit-elle. "Quant à ce que, François et moi, nous nous sommes dit, cela relève des +affaires privées+ et restera donc privé ! ", ajoute Valérie Trierweiler.
Au sujet des articles de ses confrères dans cette affaire, la compagne de François Hollande juge que "le traitement m'a surtout semblé disproportionné. Certains journalistes reconnaissent aujourd'hui en avoir beaucoup trop fait ." "Ségolène Royal est une figure de la vie politique, je ne voix pas comment parler d'elle pourrait être un tabou. Tout comme cela n'est pas tabou, pour François de la croiser à New-York ", ajoute-t-elle. La semaine dernière, François Hollande et Ségolène Royal se sont trouvés à quelques mètres l'un de l'autre, sans se saluer, au siège des Nations unies à New York.
Une plainte pour "usurpation d'identité "
Et Valérie Trierweiler annonce aussi une plainte contre X pour "usurpation d'identité " dans une affaire de permis de construire pour un terrain de 4 000 m2 dans le Morbihan. "J'ai d'abord cru qu'il s'agissait d'une
rumeur, mais il semble que nous ayons affaire à une escroquerie ou une
manipulation avec usurpation d'identité. "
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.