Après quelques jours de repos bien mérités sous le soleil de Barcelone (Espagne), le retour est plus compliqué. À l'aéroport, il faut désormais montrer un test PCR ou antigénique de moins de 24 heures. Une mesure qui a pris de court certains passagers qui ont un test qui date de 48 heures. Une passagère a dû payer 150 euros pour se faire faire un test en urgence. Dimanche dernier, à Barcelone, la plupart des laboratoires étaient fermés.Mauvaise dynamiqueQuelle sera l'ampleur de la quatrième vague ? "Pour l'instant, la dynamique n'est pas bonne" résume le médecin et journaliste Damien Mascret. "Il y a 82% d'augmentation des cas par jour, c'est trop tard pour enrayer cette montée. On peut limiter les conséquences en hospitalisation, on est en moyenne à 176 entrées par jour. Je vous rappelle qu'au pic de la deuxième vague, on était à 2 000 entrées par jour", explique Damien Mascret. Mais attention : pour l'instant, une personne en contamine trois autres.