Cet article date de plus de deux ans.

"J'ai souhaité qu'on ait un véritable choc de simplifications" : l'annonce forte du ministre des Armées en ce 11-Novembre

Publié
Temps de lecture : 1min
"J'ai souhaité qu'on ait un véritable choc de simplifications" : l'annonce forte du ministre des Armées en ce 11-Novembre
"J'ai souhaité qu'on ait un véritable choc de simplifications" : l'annonce forte du ministre des Armées en ce 11-Novembre "J'ai souhaité qu'on ait un véritable choc de simplifications" : l'annonce forte du ministre des Armées en ce 11-Novembre
Article rédigé par France 2 - J. Wittenberg
France Télévisions
Le ministre des Armées Sébastien Lecornu était l'invité des "4 Vérités" de France 2 ce vendredi 11 novembre.

Vendredi 11 novembre, jour de commémoration de l'Armistice de la guerre de 14-18, Sébastien Lecornu était l'invité des "4 Vérités" de France 2. Le ministre des Armées a eu une pensée pour tous les blessés militaires et a profité de l'occasion pour faire quelques annonces. "J'ai souhaité qu'on ait un véritable choc de simplifications", a-t-il déclaré, expliquant qu'aujourd'hui, un militaire victime d'une blessure de guerre lorsqu'il a des dépenses, comme n'importe quelle personne en situation de handicap, "doit justifier ligne par ligne" que ces dépenses sont bien liées à son handicap. "Moi, j'ai souhaité qu'on forfaitise tout ça, qu'on inverse complètement la charge de la preuve. On part du principe que les factures du blessé sont forcément les bonnes factures et c'est à l'administration de démontrer le contraire."

Quid de l'Ocean Viking ?

"C'était la seule décision à prendre", a estimé le ministre des Armées alors que le bateau humanitaire Ocean Viking a accosté dans la matinée au port militaire de Toulon, dans le Var, suscitant l'ire d'une partie de l'opposition. Et d'ajouter : "L'Italie s'isole par cette décision. [...] L'Italie est en train de s'exposer encore davantage à ces phénomènes migratoires. Moi, je les invite à reconsidérer leur position prochainement."

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.