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Vidéo "Traficotages", "boycott" et "bouderie" : la pagaille à l'Assemblée nationale résumée en trois minutes

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Durée de la vidéo : 3 min
L’Assemblée sans dessus dessous
L’Assemblée sens dessus dessous L’Assemblée sans dessus dessous (FRANCEINFO)
Article rédigé par Camille Adaoust - Anselme Calabrese, Sonia Lange
France Télévisions

Franceinfo vous résume la deuxième séance (chaotique) de l'Assemblée nationale qui s'est tenue mercredi 28 juin.

"L'ordre du jour appelle la nomination des six vice-présidents, des trois questeurs et des 12 secrétaires", annonce, mercredi 28 juin, François De Rugy, président de l'Assemblée nationale. Les choses commencent bien mais, très vite, la séance tourne au psychodrame. L'opposition critique tout d'abord la nomination, aux postes de questeurs, de deux élus macronistes et, surtout, d'un troisième "Macron-compatible".

>> Bataille des postes, coups de poker, président fantôme... La folle nuit de l'Assemblée nationale en quatre actes

"On se trouve dans une situation extrêmement grave, lance ensuite Christian Jacob, président du groupe Les Républicains. Jamais dans l'histoire de notre Assemblée, les droits de l'opposition n’ont été piétinés comme ils ont été piétinés."

"Qu’est-ce que c’est cette façon de fonctionner ?"

Et la crise continue pendant toute la séance. L'épisode se conclut, entre autres, par la colère remarquée du communiste André Chassaigne. "Qu’est-ce que c’est cette façon de fonctionner ? Qu’est-ce que c’est que ces petits traficotages ?, a lancé le président du groupe Gauche démocrate et républicaine. Quelle image vous donnez de notre Assemblée ?"

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