Bac 2023 : l'Education nationale va mener une enquête interne après la fuite d'un sujet
Un sujet du bac diffusé sur les réseaux sociaux. Le ministère de l'Education nationale va mener une enquête interne après la fuite, mardi 21 mars, d'un sujet du bac, celui de l'épreuve de spécialité éco-droit en filière technologique STMG, qui l'a contraint à utiliser le sujet de secours, a-t-il annoncé à l'AFP.
Le ministère affirme avoir été informé mardi à 13h58 de cette fuite, pour une épreuve débutant à 14 heures. Cela concerne 82 000 candidats, qui passaient cette épreuve dans le cadre des épreuves de spécialité du bac. A la suite de cette fuite, le sujet de remplacement, préparé à chaque examen en cas de problème, "a été mis en place", et les candidats, qui avaient débuté l'épreuve avec le sujet initial, "ont repris à 15 heures" avec ce nouveau sujet. "La durée de l'épreuve sera décalée d'une heure", a-t-on précisé au ministère.
Le ministère de l'Education nationale avait été contraint l'an dernier d'utiliser ses sujets de secours pour les épreuves d'histoire-géographie et de sciences du brevet des collèges, à la suite d'une fuite. Il y avait aussi eu recours pour le bac de français de la voie générale, en raison d'une erreur dans un centre d'examen.
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