Tourisme : à la découverte de l'île d'Aix
Son bonheur, la pêche à pied.
C'est une Etrille. Avec de la mayonnaise, je me damnerais.
Il vient chaque année à Pâques en famille.
C'est une coupure nécessaire dans le quotidien.
Pour les ados, pas question d'aller ailleurs. Ils sont ici chez eux.
On vient ici depuis petit, c'est notre coin de paradis.
Le paradis c'est goûter les huîtres sauvages sur place. Tout le monde se retrouve à la location. histoire de profiter encore un peu d'une ambiance presque estivale.
La suite de notre feuilleton. Depuis le début de la semaine, on rencontre des personnages qui sont les figures des puces de Saint-Ouen. Aujourd'hui, Jacques Kheliff, un collectionneur, va nous faire visiter sa maison. Et on va écouter Manuela qui chante Piaf depuis 40 ans.
Entre l'univers de Jacques et les Puces de St-Ouen, il y a comme une parenté d'esprit, une relation intime qui dure depuis 20 ans.
C'est vrai, on a tous les objets qui en viennent, on retrouve leurs couleurs, leur toucher, leurs odeurs. Quand j'ai ramené le canapé, on a eu durant un mois une odeur de moisi persistante. Vous avez ici un lampadaire qui est un lampadaire d'atelier. Cette suspension, c'est une re-création à partir d'un modèle des années 60.
Dans sa jeunesse, Jacques Kheliff était tourneur-fraiseur. D'où sa passion pour les objets industriels.
J'étais fasciné par les machines-outils, les lumières qui étaient distillées par des lampes de ce type, que j'avais sur mon tour et ma fraiseuse.
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