Équateur : le pays en état de guerre civile après l'évasion d'un important chef de gang

Publié Mis à jour
Durée de la vidéo : 2 min
Depuis l'évasion, dimanche 7 janvier, du chef d'un gang de 8000 hommes au cœur du trafic de cocaïne en Équateur, le pays est en état de guerre civile. Des hommes armés ont envahi un plateau de télévision en tentant de prendre des otages. 13 assaillants ont été arrêtés.
Équateur : le pays en état de guerre civile après l'évasion d'un important chef de gang Depuis l'évasion, dimanche 7 janvier, du chef d'un gang de 8000 hommes au cœur du trafic de cocaïne en Équateur, le pays est en état de guerre civile. Des hommes armés ont envahi un plateau de télévision en tentant de prendre des otages. 13 assaillants ont été arrêtés. (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
franceinfo
Depuis l'évasion, dimanche 7 janvier, du chef d'un gang de 8 000 hommes au cœur du trafic de cocaïne en Équateur, le pays est en état de guerre civile. Des hommes armés ont envahi un plateau de télévision en tentant de prendre des otages. 13 assaillants ont été arrêtés.

En Équateur, des hommes armés ont envahi un plateau de télévision. Une scène surréaliste survenue en plein direct. Ils ont mis en joue le présentateur, qui a gardé un calme impressionnant, appelant les agresseurs au calme. Des coups de feu ont ensuite retenti. Plusieurs longues minutes après, la police est intervenue. Les forces de l'ordre ont maîtrisé les auteurs de cette tentative de prise d'otage.

Le pays plongé dans un chaos sans précédent

Personne n'a été tué, mais il y a des blessés. 13 assaillants ont été arrêtés, menottés, puis sortis rapidement par les policiers. Ils feraient partie d'un gang de narcotrafiquants. L'Équateur est plongé dans un chaos sans précédent depuis l'évasion, dimanche 7 janvier, d'Adolfo Macias, alias "Fito", l'ennemi public numéro un, chef d'un gang de 8 000 hommes au cœur du trafic de cocaïne. L'Équateur est en état de guerre civile. Le président équatorien a décrété l'état d'urgence.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.