Cet article date de plus de quatre ans.

Covid-19 : les Bourses européennes dévissent à cause de l'accélération de l'épidémie en Italie

L'Italie est le pays européen le plus durement touchée par l'épidémie de coronavirus avec 229 personnes contaminées et sept morts.

Article rédigé par franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
La Bourse de Paris a dévissé (-3,94%), lundi 24 février, ainsi que plusieurs bourses européennes.  (DANIEL ROLAND / AFP)

Les Bourses européennes dévissent avec l'accélération de l'épidémie de coronavirus Covid-19 en Italie. Lundi 24 février, la Bourse de Paris a dévissé (-3,94%). L'indice CAC 40 a perdu 237,85 points à 5.791,87 points, un plus bas depuis le 2 décembre 2019, dans un volume d'échanges extrêmement élevé de 7,7 milliards d'euros.

>> "Il n'y a plus aucun malade hospitalisé en France", annonce le ministre de la Santé. Suivez notre direct

De son côté, la Bourse de Londres a terminé sur une sévère chute de 3,34% lundi, emportée comme les autres marchés par l'angoisse suscité par l'épidémie. La Bourse de Francfort a également passé un lundi noir, le Dax chutant de 4,01 %.

La Bourse de Milan est, sans surprise, la plus durement touchée avec un plongeon de 5,43% en clôture. L'Italie est le pays européen le plus durement touchée par l'épidémie de coronavirus avec 229 personnes contaminées et sept morts.

Les autres places mondiales dans la déprime

La Bourse de New York a elle aussi plongé, les investisseurs s'inquiétant sérieusement des conséquences de l'épidémie sur l'économie mondiale. Le Dow Jones Industrial Average est tombé de 3,56%, à 27.960,80 points. L'indice vedette de la place new-yorkaise a enregistré sa pire séance en plus de deux ans et s'affiche désormais en recul par rapport à son niveau du début de l'année.

Plus tôt en Asie, les Bourses chinoises ont terminé la séance en ordre dispersé. Hong Kong et Shanghai ont fini dans le rouge tandis que la Bourse de Shenzhen a clôturé très légèrement dans le vert.




 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.