Les violences domestiques ont énormément évolué durant ce temps de confinement contraint par l'épidémie de coronavirus : "une augmentation de 32% en zone gendarmerie et de 36% dans la zone de la préfecture de police de Paris. Les chiffres augmentent alors qu'il est difficile pour les victimes de donner l'alerte, confinées en permanence avec leurs bourreaux", note la journaliste Siegrid de Misouard. Un système d'alerteDes mesures existent pour limiter les violences familiales : l'exécutif a donc mis en place un nouveau système d'alerte. dans les pharmacies qui restent ouvertes malgré le confinement, les femmes pourront alerter sur leur situation. Et c'est le pharmacien qui devra ensuite avertir les forces de l'ordre. Le gouvernement mise également sur des points d'accompagnement éphémères ouverts près des centres commerciaux depuis lundi 30 mars alors qu'un million d'euros vont être débloqués et 20 000 nuits d'hôtels seront payées.