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Vidéo La vérité sur le post-partum

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“On aimerait toutes pouvoir se dire que c’est beau, un corps qui vient d’accoucher parce qu’on vient de donner la vie, mais en réalité, c’est plus compliqué que ça.” Brut a rencontré plusieurs femmes après leur accouchement pour parler de post-partum.
VIDEO. La vérité sur le post-partum “On aimerait toutes pouvoir se dire que c’est beau, un corps qui vient d’accoucher parce qu’on vient de donner la vie, mais en réalité, c’est plus compliqué que ça.” Brut a rencontré plusieurs femmes après leur accouchement pour parler de post-partum. (brut)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

“On aimerait toutes pouvoir se dire que c’est beau, un corps qui vient d’accoucher parce qu’on vient de donner la vie, mais en réalité, c’est plus compliqué que ça.” Brut a rencontré plusieurs femmes après leur accouchement pour parler de post-partum.

Après un accouchement, on est un peu en chantier

“On a grandi avec les films où la femme sort de la maternité avec le bébé dans les bras et le ventre tout plat, mais c’est Hollywood. Il faut montrer la vraie vie, il n’y a pas de honte à ça.”

“Si dans les médias, dans les films, on valorisait un peu plus cet état, ce serait plus facile pour nous”. Pour Brut, plusieurs femmes reviennent sur leur post-partum, période qui s’étend de la fin de l’accouchement au retour des menstruations.

“J’avais un très, très gros ventre avec un gros bébé, très tiré vers l’avant. Une fois que le bébé est sorti, le ventre s’étale un peu… C’est un peu bizarre. C’était vraiment un corps qui m’était totalement étranger”, confie Sabrina, créatrice de contenus. 

“Il n'y a pas un post-partum qui ressemble à un autre post-partum. Corporellement, vous comprenez bien que ça n’a rien à voir si vous avez accouché par césarienne avec hémorragie ou si vous avez accouché en 3 heures, dans la baignoire et sans péridurale”, explique Anna Roy, sage-femme. 

“Moi, je peux le dire, j’aime le post-partum. J’aime ce temps suspendu avec son bébé, j’aime le fait que j’ai le droit de rien faire, que je suis autorisée à me reposer, à me réparer”, révèle Clémentine Sarlat, fondatrice du podcast “la Matrescence”

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