Asthme : une molécule qui pourrait sauver des vies
Il aura fallu 14 chercheurs et huit années de travail pour découvrir cette nouvelle alarmine, la molécule qui est responsable des allergies. Nom de code : TL1A. Cette molécule représente une cible thérapeutique d’intérêt majeur pour soigner les maladies allergiques. Des essais cliniques vont débuter et un traitement pourrait voir le jour d’ici cinq ans.
"C’est toujours prometteur"
"C’est toujours prometteur quand on trouve un point faible dans une maladie. La grande question, c'est : est-ce que les médicaments que l’on va utiliser ne vont pas aller trop loin et bloquer des mécanismes qui servent naturellement à nous protéger et à nous défendre ? C’est là que les essais cliniques chez l’homme vont nous donner une réponse", confie le Dr. Damien Mascret, médecin et journaliste à France Télévisions. En France, 17 millions de personnes souffrent d’allergies, dont quatre millions d’asthmatiques.
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