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Pouvoir d'achat : les bonnes recettes de Chloé Métahri, blogueuse, pour faire des économies

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Pouvoir d'achat : les bonnes recettes de Chloé Métahri, blogueuse, pour faire des économies en cuisine
Pouvoir d'achat : les bonnes recettes de Chloé Métahri, blogueuse, pour faire des économies en cuisine Pouvoir d'achat : les bonnes recettes de Chloé Métahri, blogueuse, pour faire des économies en cuisine
Article rédigé par France 2 - N. Fleury, J. Delage, N. Gilbert
France Télévisions

Le 13 Heures de France 2 a rencontré Chloé Métahri, cheffe d'entreprise et blogueuse, qui délivre ses bons conseils sur Internet pour réduire les dépenses. 

Dans une vidéo, Chloé Métahri, cheffe d'entreprise et blogueuse sur "My Slow Life", partage quelques astuces pour économiser au quotidien, en particulier dans la cuisine. Pour elle, bien manger pour un prix réduit est possible. Afin de gérer son budget cuisine à l'euro près, il faut être bien organisé. "J'ai un budget courses qui est défini tous les mois. C'est le même, et pour le respecter, j'ai trouvé une solution : faire les menus toutes les semaines", explique Chloé Métahri.

Miser sur les produits locaux et de saison

Chloé Métahri a un budget de 400 euros par mois pour ses courses pour une famille de quatre. Pour s'y tenir, la blogueuse ne va presque jamais en magasin. "Je fais mes courses sur une épicerie bio en ligne qui, par un système d'adhésion, me permet d'avoir des produits bio bien moins chers qu'en magasin, entre 30 et 50 % moins cher", décrit-elle. Pour accéder à ces prix bas, il faut payer 59 euros d'inscription. En un an et demi, la cheffe d'entreprise a dépensé 700 euros de moins qu'en magasin.

Pour faire des économies sur les produits frais, Chloé Métahri mise sur les produits locaux et de saison. "Ça évite d'avoir des prix qui comprennent notamment le transport des fruits ou des légumes", précise-t-elle. Par rapport à la grande distribution, l'économie est parfois limitée, mais elle est tout de même d'une vingtaine d'euros par an au minimum. Pour faire encore plus d'économies, Chloé Métahri achète également des fruits et légumes dits "déclassés", soit un peu abîmés, qui sont moins chers. 

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