Dans les chansons de Serge Gainsbourg, il y a souvent une vraie femme derrière la femme de la chanson. Il y a tant de chansons ouvertement qui sont adressées à Jane Birkin, à Bambou, à Brigitte Bardot, que l’on croit avoir vite fait le tour de ses histoires d’amour et de désamour. Or non. Il y a beaucoup de jeux de masques dans les œuvres de Gainsbourg. Dans cette chronique, vous entendez des extraits de : Serge Gainsbourg, Manon, 1968 Serge Gainsbourg, Le Claqueur de doigts, 1959 Vincent Delerm lit Le Claqueur de doigts, 2016 Serge Gainsbourg, Vu de l'extérieur, 1973 Vincent Delerm lit Titicaca, 2016 Serge Gainsbourg, Titicaca, 1973 Serge Gainsbourg, Elisa, 1968 Serge Gainsbourg, Elisa, 1968 Serge Gainsbourg, Elaeudanla téitéia, 1963 Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique Vous pouvez également prolonger les gourmandises de cette chronique avec le Dictionnaire amoureux de la chanson française, coédité par Plon et France Info. (dico bd ok) Pour les professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire. Toute l’année, de la fin août à mi-juillet, vous pouvez écouter notre chronique qui explore les grandes thématiques évoquées par la chanson, Ces chansons qui font l'actu. Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux. Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil. Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.