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Les coulisses des JO. Les basketteurs français heureux d’être au Japon car plusieurs sont fans de culture nippone

À trois jours de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Tokyo, on vous emmène dans les coulisses des Jeux olympiques.

Article rédigé par franceinfo - Alexandre Berthaud
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Des mangas "One piece" exposés au Salon du livre de Paris, le 18 mars 2019. Photo d'exposition. (JOEL SAGET / AFP)

La majorité des athlètes sont désormais arrivés à TokyoLe protocole sanitaire est stricte, difficile de goûter au folklore local. Et pourtant  plusieurs athlètes français disent adorer la culture japonaise, notamment les mangasIl y a des histoires qu'on lit et qui nous frappent. Des récits qui nous transforment. Pour Pierre-Ambroise Bosse, champion du monde 2017 du 800 mètres, c'était One Piece, un manga japonais vendu à presque 500 millions d'exemplaires dans le monde. 

"One Piece", c'est mon manga préféré ! Je pourrais en citer plein ! En ce moment, je regarde "L'attaque des titans"...

Rudy Gobert

à franceinfo

Alors que son coéquipier Evan Fournier lui : "Moi, c'est plus 'Dragon Ball Z', c'est mon film préféré" Rudy Gobert, le sprinteur Jimmy Vicaut, l'arrière droit de handball Nedim Remili, ils sont plusieurs français et d'autres étrangers à dévorer les mangas sur leur temps libre. Pas vraiment un hasard quand on observe le script, un manga, est souvent un héros qui se dépasse pour accomplir ses rêves, ça ressemble à s'y méprendre à la vie d'un sportif de haut niveau. Sans parler des mangas de sport.

Le Japon était une destination attendue par les athlètes

Retrouver cette culture manga, il n'attendait que ça, Rudy Gobet, le basketteur : "C'est clair que pour ma première fois au Japon, c'est vraiment cool d'être sur place, on ressent vraiment la culture japonaise. Déjà le langage, pouvoir utiliser mes petits mots de japonais que j'entends dans les mangas depuis des années." Malheureusement, les athlètes sont assez loin de la vie réelle, du public : les restrictions sanitaires les placent dans une bulle.

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