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On ne pouvait pas le rater. L’Alaphilippemania sur le Tour de France

Pendant toute la durée du Tour de France, Olivia Leray nous fait vivre les à-côtés de la course cycliste.

Article rédigé par franceinfo - Olivia Leray
Radio France
Publié
Temps de lecture : 2 min
Julian Alaphilippe, maillot jaune au terme de la 2e étape à Nice (Alpes-Maritimes), le 30 août 2020. (STUART FRANKLIN / AFP)

Après la pluie, le beau temps sur le Tour de France. Oui, on est bien lundi 31 août et je peux vous dire que ce n'était pas gagné d’avance ! Pour le lancement du Tour samedi on n'était pas au top, de la pluie, un départ à huis clos, un protocole strict. Alors, il y a bien le maire de Nice, Christian Estrosi qui a essayé de nous remettre dedans en nous disant que le Tour de France est forcément une fête, on n'y croyait pas trop.

Aux alentours de 18h20, on y a cru

C'était dimanche, grâce à Julian Alaphilippe. On a été téléportés, on est passés de la fin des vacances, au début de l’été. Dimanche soir et on n'avait pas le cafard. On n'avait pas le cafard, on avait les papillons, ceux au fond du ventre ceux qu’on n'avait pas retrouvés depuis des mois. Il y n'avait pas de rentrée, il n'y avait plus rien. Il y avait juste Julian. Et le petit garçon le plus mignon du monde qui l’attendait à l’arrivée de l’étape à son bus. Un petit garçon de Moselle, qui fait sa rentrée mardi, et qui pourra dire à ses copains qu'il a vu son coureur préféré endosser le maillot jaune. Alors, j'ai bien taquiné monsieur Estrosi au début de cette chronique mais il faut bien le dire, il avait raison finalement : c’est la fête. En route pour Sisteron !

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