Reconnu par le constructeur allemand, le trucage des données sur les émissions polluantes des voitures, pourrait avoir des conséquences dans les autres pays européens. Il faut aussi en tirer des conclusions pour l'avenir, selon le journaliste italien Giampiero MARTINOTTI et Aurora MINGUEZ, correspondante de la Radio nationale d'Espagne.
En Espagne, la firme Seat appartient au groupe Volkswagen. Première entreprise du pays, ses 22.000 employés se demandent aujourd'hui ce qui peut arriver : 500.000 voitures Seat seraient équipées du même logiciel douteux que celui des véhicules diesel Volkswagen incriminés aux États-Unis.
Est-ce que tout cela ne va pas renforcer la méfiance des consommateurs qui doutent déjà des médicaments ou des produits alimentaires ? Autant de questions posées par les deux invités, sur cette affaire qui a fait l'effet d'un coup de tonnerre et qui selon beaucoup de commentateurs, pourrait ne pas être finie ...
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