Après Emmanuel Macron qui a annoncé jeudi le doublement des effectifs mobilisés pour le contrôle aux frontières, le ministre de l'Intérieur est en première ligne sur le front de la lutte antiterroriste avec une tournée à l'étranger qui débute ce vendredi.
Trois jours, quatre pays : Italie, Tunisie, Malte et Algérie. Alors que l'auteur présumé de l'attentat contre la basilique de Nice est un Tunisien qui a transité, justement, par Malte et l'Italie, ce déplacement du ministre de l'Intérieur a pour but de renforcer la coopération avec ces pays, mais aussi et surtout obtenir des pays du Maghreb qu'ils acceptent de reprendre sur leur sol des clandestins radicalisés.
Il peut s'agir d'individus fichés actuellement en prison en France ou dans des centres de rétention. Deux jours après l'assassinat de Samuel Paty, Gérald Darmanin avait annoncé leur expulsion. Ils sont 231 dont 150 venus du Maghreb, mais aussi de Russie, notamment de Tchétchénie. Et depuis presque trois semaines, 26 seulement ont été expulsés.
Des engagements qui ont du mal à se concrétiser
La France est confrontée à une triple difficulté selon une source gouvernementale. Il y a d'abord la réticence des pays d'origine à reprendre leurs ressortissants. Les négociations sont difficiles et au cas par cas. Avec souvent le même argument : "Ça fait longtemps qu'il est chez vous, c'est en France qu'il s'est radicalisé, pas chez nous !"
Deuxième difficulté : l'impossibilité de procéder à des expulsions vers certains pays en guerre, notamment la Syrie ou la Libye. Enfin, le contexte sanitaire ne facilite pas les choses. Des espaces aériens sont fermés, les vols sont limités et des tests PCR sont exigés par les autorités locales.
L'exercice est donc compliqué pour Gérald Darmanin qui a dans sa poche une arme diplomatique : "Attention aux conséquences si vous ne reprenez pas vos ressortissants, comme d'éventuelles restrictions de visas".
ESTE
nom :
Quinta lettera dell'alfabeto italiano e seconda delle vocali, derivante dalla E greca, e questa a sua volta da un segno fenicio, che valeva h. Può avere il valore di vocale anteriore semiaperta, come in affètto, sèlla, pèsca, o quello di vocale anteriore semichiusa come in télo, céra, véggo . La giustificazione storica di questa differenza si limita alle parole che dall'italiano sono collegate al latino attraverso una tradizione ininterrotta, cioè a una minoranza. Nel resto dei casi si tratta di una giustificazione di fatto che può continuare a fondarsi sulla pronuncia fiorentina, non è detto però per quanto tempo ancora. Venendo meno il valore canonico del fiorentino, nessun altro criterio potrebbe sostituirvisi, e in questo caso la differenza fonetica potrebbe perdurare in forma caotica, senza essere più consapevolmente osservata, e, alla fine, addirittura più percepita.
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In biochimica: vitamina E, tocoferolo.
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Particella copulativa corrispondente al lat. et, del quale spesso, al fine di evitare lo iato, mantiene la finale consonantica t sonorizzata in d ( ed ), dinanzi a parola che cominci per vocale; la finale consonantica sopravvive altresì davanti a consonante nel raddoppiamento sintattico ( eccome, ebbene, da e(d)come, e(d)bene ). Serve a congiungere o coordinare due unità sintattiche congeneri: due nomi, due verbi, due avverbi, come pure due proposizioni.
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Prefisso col valore di ‘fuori’ in senso statico o di provenienza ( eleggere, evadere ); corrisponde alla forma ridotta latina e-, davanti a consonante sonora (e grĕdi, e ligĕre ), del prefisso ex-.
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Variante dell'articolo i.
E’ gioven che restati nel bosco erono
Contrazione di e i.
Contro i servi e’ tiranni
Primo elemento di composti moderni relativi alla comunicazione tramite reti telematiche.
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Troncamento di ei (sing. egli o pl. essi ) in posizione proclitica, con funzione di solito pleonastica: Ed e’ fammi pur mal, che Dio ci dia! (Angiolieri); e’ verranno domani.
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