Accoyer (UMP) reconnaît la difficulté à faire appliquer le "ni-ni"
Le "ni-ni" de l'UMP pas respecté sur le plan local
Alors que plusieurs élus UMP ont prévu de se retirer au profit du Front national pour faire battre le PS au second tour des législatives, Bernard Accoyer reconnaît que "dans toute formation politique, il y a ce qui est dit par la formation politique et puis il y a les personnalités. Vous n'empêcherez pas des initiatives individuelles parce que chacun a sa liberté de parler" . Le président de l'Assemblée nationale fait remarquer que Martine Aubry n'a pas été entendue par la candidate socialiste dans le Vaucluse quand elle lui a demandé de se retirer pour faire battre Marion Maréchal-Le Pen. Et Bernard Accoyer de conclure : "Les individualités, elles sont fortes dans la vie politique".
L'UMP et l'après législatives
La guerre de chefs a commencé avant les législatives entre François Fillon, Jean-François Copé avec Alain Juppé en embuscade. Que se passera-t-il après les élections ? Bernard Accoyer répond : "Après les élections législatives, il y a un temps qui va s'ouvrir qui sera un temps de débat et de réflexion [...] nous avons besoin [...] de réfléchir", ajoute-il.
Les jurés populaires supprimés par le gouvernement
Bernard Accoyer réagit à la suppression annoncée de l'expérimentation des jurés populaires en correctionnelle. "Ce gouvernement a comme programme de défaire ce qu'a fait de gouvernement précèdent [...] je suis extrêmement inquiet d'un tel comportement qui est un comportement fait de préjugé [...] c'est effarant".
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