Cet article date de plus de dix ans.

Grand Corps Malade d'"Hexagone" au "Requiem" de Mozart

Le slameur a grandi en prenant des leçons d'écriture chez Renaud, et continue d'écouter du rap ou du reggae engagé.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 5 min
  (©)

Dans Ces Chansons qui font une vie , des artistes viennent
dévoiler leur rapport à la musique, leurs plaisirs coupables ou leurs
inspirations en répondant à une série de questions : La première chanson
que vous avez voulu acheter, la chanson de Papa, la chanson de Maman, la plus
belle chanson du bon vieux temps, la première chanson que vous avez détestée
avant de vous mettre à l'aimer, la chanson que vous êtes le seul à aimer, ou du
moins que vous n'avez jamais réussi à faire partager à quelqu'un, la chanson
que vous auriez aimé écrire, la chanson que vous avez honte d'aimer, la chanson
que vous n'avez pas écrite mais qui parle de vous, la chanson qui vous
accompagne pendant les insomnies...

 

Grand
Corps Malade, slameur et auteur, un an après le succès de son livre
Patients,
a sorti il y a quelques semaines son quatrième album, *Funambule,

  • et se prépare à partir en tournée au mois de janvier.

Il
était tout naturel de l'inviter dans Ces chansons qui font une vie pour
explorer son univers musical intime.  

 

Les chansons choisies par Grand Corps Malade :

Hexagone par Renaud (1975)

Göttingen par Barbara (1964)

La Médaille par Renaud (1994)

Le Manège par Grand Corps Malade (2013)

Introït du Requiem de Wolfgang
Amadeus Mozart, dirigé par Peter Schreier

Long train Running par The Doobie Brothers (1973)

Political War par Tiken Jah Fakoly (2010)

Banlieusards par Kery James (2008)

 

Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique

Vous pouvez aussi retrouver sur le
site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série d'été
La Face cachée des
tubes.

Pendant le Tour de France, nous vous
avons proposé, en vingt-trois épisodes, la chronique Ces chansons qui
font le Tour
.

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